EXPOSITION SOLO

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"Pour que demain voie le jour" dévoile un ensemble d'œuvres créées au cours des trois dernières années. Cette première exposition solo comprend des sculptures, des croquis, des études et des photographies, traitant tous et toutes d’une thématique commune ; celle de l’avenir de notre monde.

Ce projet d’exploration encourage à cultiver non pas nécessairement des solutions concrètes, mais plutôt une sensibilité accrue envers l'avenir. Il représente une convergence d'années d'expérience et de divers savoir-faire, où chaque œuvre est une célébration des matériaux, une rencontre improbable de matières qui témoigne de la richesse des compétences accumulées au cours du parcours de l’artiste. À travers cette collection, ce dernier cherche à transmettre l'importance du geste dans la création, soulignant le rôle essentiel du faire dans l'expression de sa vision.

En faisant référence à l’histoire de la sculpture et de ses traditions, en traitant de sujets actuels et personnels, les narrations ont pour but d’exposer l’évolution des valeurs collectives et l’aspiration à une ère meilleure, où la conscience éthique serait au cœur de l’action humaine.

EXPOSITIONS DE GROUPE

[sélection]

«Une exposition alliant la sculpture, le dessin et la peinture, dans le but de faire questionner le public sur la limite de l’interprétation et de la modulation des ces médiums en les assimilant l’un à l’autre. Le travail curatorial est notamment un partage de connaissance entre les artistes et la commissaire Tess Lamy. L’ amalgame des catégories d’art et leurs attraits, tels que la peinture et la sculpture n’est pas chose nouvelle dans l’histoire de l’art. Bien qu’il s’agisse d’un intérêt qui aura été évoqué par plusieurs artistes au fil du temps, on peut concevoir un large regard contemporain et novateur des artistes. Et ce en passant par l’altération de la forme de la toile originelle pour se transformer en objet, jusqu’à l’assimilation de la sculpture encastrée dans une œuvre picturale. L’exposition À la dériveinterroge la limite du réel, la limite du travail de la représentation d’un sujet , la limite de l’image dans l’image et de la forme elle-même, lors de la rencontre improbable d’éléments formels et figuratifs. Les artistes ont vraisemblablement un travail de recherche technique dans leur créations mais cela ne s’arrête pas là… La mission est de s’interroger sur l’origine et les frontières de ces deux formes d’arts et en les assimilant à une éthique commune.»

- Mot de la commissaire Tess Lamy

« Musée d’Art Actuel – Département des Invisibles est une œuvre performative et collaborative de l’artiste longueuillois Stanley Février. Le projet consiste en un musée itinérant ayant pour mission d'activer la pensée critique pour s’attaquer aux causes profondes de l’exclusion systémique et rendre visible la contribution des pratiques artistiques culturellement diverses. En qualité d’institution du XXIe siècle, le MAADI se veut avant tout équitable et soucieux d’apporter une lecture plurielle sur les enjeux actuels de l’art contemporain. L'œuvre prend forme dans une structure autoportante où se présente la collection lors des expositions temporaires. Prenant la posture de l’artiste-conservateur et utilisant le musée comme médium pour en faire un espace critique, Février questionne le système de l’art, ses enjeux socioculturels et identitaires. On pourra y voir des œuvres de My-Van Dam, Esther Calixte-Béa, Clovis-Alexandre Devarieux, Florence Yee, Claudia Bernal, rudy aker, Rad Hourani, Aziza Nassih, Nora Isabel Golic et Vincent Lussier.»

- Stanley Février

« Passage à découvert est l’occasion de découvrir les travaux des artistes contemporain·e·s et des pédagogues de demain qui occuperont les musées, galeries et écoles. L’exposition illustre la vivacité créatrice, la curiosité et la liberté des étudiant·e·s et témoigne du professionnalisme des diplômé·e·s, ainsi que de l’engouement que génèrent leurs projets. Présentée chaque année, cette exposition souligne la richesse et la diversité des programmes offerts par l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM, laquelle privilégie une formation pluridisciplinaire. »

- École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM

« Matériaux initie un dialogue entre les œuvres de dix-sept artistes autour de notre rapport à la matière dans un contexte où la technologie et la surproduction provoquent une perte de contact avec celle-ci. En s’éloignant de l’usage premier et de la forme initiale des matériaux, les artistes métamorphosent des matières résiduelles comme le bois, l’acier, le béton, le plastique et autres matériaux composites pour aborder différentes problématiques sociales, économiques, politiques et écologiques. La pluralité des approches et des matériaux présentés dans cette exposition reflète la multiplicité et la diversité des points de vue présents dans nos sociétés modernes. »

- WIP